Les 10 gangs les plus dangereux de la planète

Article publié le 19/06/2015 | mis à jour le 16/07/2021


Micro-sociétés souvent très hiérarchisées, ces organisations criminelles sont responsables des plus grands réseaux de trafics d'armes, de drogues, de prostitution ou d'extorsion de fonds, provoquant des guerres de territoire et d'influence meurtrières.

1 - Mara Salvatrucha ou MS–13

Source : Victor J blue/The Most 10

En biologie, la Marabunta est un déplacement impressionnant de fourmis capables de traverser les rivières et de dévorer de petits animaux en quelques secondes. Organisées en une bande solidaire, elles ne laissent rien derrière leur passage. Ce mot désigne également une fourmi rouge tueuse, parfois mangeuse d'hommes, aux mandibules empoisonnées, laissant ses victimes paralysées et dans d'affreuses souffrances. Ces deux phénomènes résument assez bien les actions des membres de la Mara Salvatrucha.

Créé à Los Angeles dans les années 80 par des Salvadoriens partis aux États-Unis, ce gang a rapidement commencé à recruter de nouveaux membres dans les pays d'Amérique latine, dont le Salvador, les Honduras, le Guatemala et le Mexique. Comptant entre 50 000 et 80 000 membres à travers le monde, il a pour activités principales le trafic humain, le trafic d'armes, de drogue, la contrebande, le blanchiment d'argent et la prostitution (de femmes adultes et d'enfants). Les Maras sont soupçonnés de dizaines de meurtres, de jouer le rôle de passeurs à la frontière américano-mexicaine, de kidnappings et d'extorsions aussi bien derrière les barreaux qu'à l'air libre. Une fois rentré dans l'organisation, il est presque impossible d'en sortir vivant.

Plus chanceux que Christian Poveda qui y avait laissé la vie en 2009 en tournant " La Vida loca ", le reporter Thierry Gaytan a réussi à revenir vivant de son infiltration chez les Maras au Guatemala, déroulée dans l'émission Spéciale Investigation

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2 - Aryan Brotherhood

Source : Ministère de la Justice américaine/Wikimedia

Prônant la suprématie des blancs, l'Aryan brotherhood (Fraternité aryenne) s'est développé dans une prison californienne en 1967, après que les lois ségrégationnistes aient disparu et que détenus blancs et noirs soient mélangés. Extrêmement violents, les membres de ce gang sont connus pour être à l'origine de 21 % des meurtres en prison, « bien que le gang représente moins de 1 % de la population carcérale », selon Wikipedia. 

Le corps tatoué de symboles et d'inscriptions renvoyant au régime nazi et aux mouvements d'extrême droite (croix gammée, éclairs, « SS », croix celtique…), ses membres sont obligatoirement blancs et ont tous commis un meurtre pour rentrer dans l'organisation. En continuel conflit avec les gangs afro-américains et en minorité par le nombre, ils sont connus pour leur violence sans limites servant à asseoir leur réputation face aux autres organisations criminelles. Leurs secteurs d'activité : la production et le trafic de drogue, la vente d'armes, la prostitution carcérale, les meurtres commandités, les braquages de banque et l'extorsion. Comme pour les Maras, seule la mort est une issue pour sortir de l'Aryan Brotherhood, dont les amis vont des Hell Angels à la mafia mexicaine (pour le trafic de drogue), en passant par le Ku Klux Klan.

3 – Camorra

Contrairement à sa cousine italienne Cosa Nostra, la Camorra n'est pas dirigée par un parrain ultime, placé au-dessus de tous. Datant du XIXe siècle, elle est dirigée par 106 familles régnant sur des territoires précis, chapeautés par un capo (chef). De même, ce qui la distingue de Cosa Nostra et 'Ndrangheta, toutes deux nées en Italie, sont les territoires géographiques qu'elles occupent, à savoir la ville contre la campagne pour les deux dernières. Fief de la Camorra, Naples comptait à elle seule pas moins de 67 familles et 3 350 membres en 1993. 

Selon Wikipedia citant les données de l'Eurispes, un institut d'études politiques, sociales et économiques italien, la Comorra a un business très lucratif, son chiffre d'affaires s'élevait à 12,5 milliards d'euros en 2013, provenant principalement du trafic de drogue (cocaïne, héroïne, cannabis, opium), du trafic d'armes, de la prostitution et de l'extorsion de fonds notamment par le biais du pizzo. Cet « impôt » forcé est soutiré aux entreprises sous la menace et en échange d'une pseudo protection.

A cela s'ajoute aux différentes fraudes que ce soient aux subventions européennes, à la contrebande et au trafic de déchets. Ce dernier business a d'ailleurs à l'origine de la crise des ordures de Naples dans les années 2000 et a fait l'objet d'un récit documentaire de Roberto Saviano, raconté dans son livre Gomorra. Immense succès valant une surveillance continue du journaliste, celui-ci a ensuite été adapté en film par Matteo Garrone, puis plus récemment en série. 

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4 – Los Zetas/Z

Très entraînés, les membres de Los Zetas sont en partie des anciens militaires et/ou membres de l'unité d'élite de lutte contre les narcotrafiquants de l'armée mexicaine (GAFES), devenus la branche de protection armée du cartel du Golfe, un des cartels les plus importants au Mexique disposant de plus de 100 000 hommes armés, conjointement avec le cartel de Sinaloa. Créé à la fin des années 90 par le leader du cartel du Golfe, Osiel Cárdenas Guillen, le gang s'est progressivement agrandi, allant jusqu'à recruter des enfants-soldats. 

Après s'être retourné contre son ancien allié, le gang a récupéré une partie de son trafic à la frontière américano-mexicaine, jusqu'à faire éclater des règlements de compte à grande échelle, dans la région entre les différents cartels alliés (cartel de Juárez, cartel de Tijuana…) et rivaux des Zetas (cartel du Golfe, cartel de Sinaloa). Sur fond de trafic de drogue, l'organisation paramilitaire n'a eu de cesse d'améliorer son arsenal et ses méthodes, allant jusqu'à créer des camps d'entraînements et de rétention pour les personnes qu'ils kidnappent. Selon Wikipedia, un raid dans la demeure de l'un des chefs en 2008 a permis de découvrir dans son domicile pas moins de 540 fusils, 165 grenades, 500 000 munitions et 19 bâtons de dynamite. 

A l'origine de plusieurs massacres de population, de meurtre avec décapitation, d'assassinats de chefs de la police ou de l'armée mexicaine ou encore de personnes politiques, parfois à peine quelques heures après leur investiture, Los Zetas sont considérés comme l'un des gangs les plus dangereux de la planète. Implantés aux États-Unis (Texas, Californie, Nevada, Colorado), au Mexique et au Guatemala, ils sont également liés à la N'drangheta, l'une des mafias italiennes, pour qui ils cuisinent et fournissent de la méthamphétamine, selon les autorités américaines.

5 – Les Yakuzas

Source : Clan yakuza au Sanja Matsuri par Jorge/Wikimedia

Comptant officiellement 58 600 membres à travers le monde en 2013 selon Wikipedia, le gang des yakuzas est l'un des plus étendus de la planète, loin de vivre dans le secret. Ce gang a, en effet, la particularité d'être organisé sous forme d'associations légales, que l'on retrouve un peu partout au Japon, mais également à l'étranger.

Les Yakuzas font partie du paysage japonais, leur histoire remontant au XVIIe siècle où dès lors leurs activités avaient un rapport avec les jeux et la politique. Car s'ils sont connus du grand public, ne se cachant pas forcément de la population et des gouvernements, cela remonte au fait qu'ils ont longtemps entretenu des liens avec les dirigeants conservateurs et nationalistes, dès le XXe siècle, notamment pendant la période de la Seconde Guerre mondiale. C'est d'ailleurs à cette époque que la prostitution est devenue l'une de leurs activités principales, se chargeant de fournir des esclaves sexuelles, appelées " femmes de réconfort ", à l'armée japonaise. 

Mais ce gang prend une place primordiale dans la société japonaise après la guerre. Les Japonais étant sous occupation américaine, les mafias coréennes et thaïlandaises s'installent dans le pays et prennent de l'importance. Les yakuzas bénéficient alors de l'aval d'une partie de la classe politique japonaise pour les contrer. En parallèle, ils développent également le marché noir approvisionnant la population privée de produits de première nécessité. 

Source (mains) : Photo d'Anton Kusters publié sur le site Japan Addiction 

Divisés en plusieurs gangs qui étaient au nombre de 126 dans les années 60, les yakuzas connaissent des branches plus violentes spécialisées dans le trafic d'amphétamines et la prostitution quand d'autres sont tournés vers l'immobilier, le trafic d'armes, l'extorsion de fonds ou la corruption. Le secteur des jeux et des paris sportifs sont également des secteurs d'activité majeurs pour les yakuzas, notamment dans la lutte et les combats de sumo.

Leurs bureaux ayant pignon sur rue, les yakuzas se font repérer par la population par leurs costumes et leur démarche, mais surtout par leurs tatouages recouvrant une très grande partie de leur corps. Une faute au sien de l'organisation se paye au prix de son petit doigt que le yakuza doit lui-même se couper. Une erreur impardonnable est punie d'un hara-kiri, le geste suicidaire des samouraïs. 

6 - La mafia mexicaine (eMe)

Principale organisation criminelle dans les prisons américaines, la mafia mexicaine ne sévit pas au Mexique, mais de l'autre côté de la frontière. Ce gang cristallise à lui seul une dizaine d'autres factions, dont les Mara salvatrucha, qu'elle supplante. Ces gangs associés sont regroupés sous la dénomination Sureños. Le nombre 13 est d'ailleurs un signe d'allégeance à cette organisation, la 13e lettre de l'alphabet étant le M, symbole de la eMe. 

Créées en 1957 dans une prison californienne, la eMe a quelques règles que les membres, reconnaissables par leur main noire tatouée sur le torse, se doivent de suivre, sous peine d'être punis ou assassinés. Il est ainsi interdit d'être homosexuel, d'être une balance, de se battre contre un autre membre, de lui manquer de respect ou de le voler.

Dirigeant tous les gangs hispano-américains de la Californie du sud, ils sont accusés de nombreux meurtres, de trafic d'armes, de drogues et d'humains, de proxénétisme, de transport illégal de migrants, de kidnappings et d'extorsion. S'ils sont alliés avec l'Aryan Brotherhood, ils ont pour ennemis principaux les membres de la Nuestra Familia, les Crips, les Bloods et la Black Guerrilla Family. 

7 – The Crips

D'un côté, il y a les Crips en bleu. De l'autre, les Bloods en rouge. Si certains de leurs membres (ou de leurs anciens membres) culminent dans les charts américains et dans le rap U.S, ces organisations n'en sont pas moins connues pour leur violence. Corruption, prostitution, trafic de drogues avec notamment le trafic de crack et de cocaïne, meurtres commandités, braquages. La liste des crimes perpétrés par ces grands adolescents est effroyable et interminable.  

 

Fondé aux États-Unis à la fin des années 60 par Stanley « Tookie » Williams et Richard Washington, encore tous deux adolescents, le gang des Crips est né de la fusion de deux organisations dénommées Baby Avenues, compte tenu du jeune âge de leurs membres (entre 15 et 25 ans en moyenne), un facteur toujours d'actualité chez les Crips.

En revanche, le gang a dépassé les frontières de la Californie et rassemble plus d'une centaine de gangs locaux, faisant monter le nombre de membres aux États-Unis à plus de 35 000. Étant connus pour la guerre acharnée qu'ils se livrent avec les Bloods, les Crips contribuent à la guerre des gangs qui a fait pas moins de 805 morts en 1995. Selon Wikipedia, une accalmie passagère s'est fait sentir quand Tookie Williams, fondateur des Crips condamné à mort pour meurtre devenu militant antigang, a appelé les Crips et les Bloods à mettre fin à leurs conflits, avant qu'il ne soit exécuté. 

Source photo : Wikimedia

8 - The Bloods

Alors que les Crips commençaient à prendre de l'ampleur à Los Angeles, des gangs rivaux, beaucoup moins nombreux, se sont alliés pour créer les Bloods en 1972. Plus violents pour s'affirmer face au nombre, les membres de ce nouveau gang sont tout aussi jeunes que leurs rivaux. Quant aux rares trentenaires qui font encore partie de l'organisation, ils ont pour mission de gérer des territoires. Comme pour les gangs de motards, l'analogie avec l'armée n'est pas très loin. Le chef de groupe n'est pas élu, mais est désigné selon son passé criminel et son influence, quand le reste des membres est appelé " Soldat ". Pas étonnant donc de retrouver des membres des Bloods dans l'armée américaine, notamment dans des bases à l'étranger. 

Par ailleurs, plusieurs projets dont les mixtapes « Bangin' on Wax » et One Crips, One Blood (avec des collaborations notamment entre Snoop Dogg et The Game) ont permis de calmer le jeu entre les deux organisations, en proposant à des membres (ou ex-membres) des deux clans de s'affronter par micros interposés, dans des battles de hip-hop.

9 - Mongrel Mob 

Source : Site de la City Gallery Wellington

Basé en Nouvelle-Zélande, ce gang a tout d'un gang de motards… sans motos. Créés dans les années 60, les Mongrel Mob comptent aujourd'hui une trentaine de clubs, à travers tout le pays, connu pour être d'une violence extrême. Comme pour les gangs de motards nord-américains, la culture de l'initiation y est très forte. De même, chaque groupe de l'organisation dispose d'une hiérarchie similaire aux rangs militaires : Président, vice-président, sergent… Appelés " prospects ", les membres en devenir doivent faire preuve de leur loyauté dans de nombreuses missions, avant de pouvoir porter le nom des Mongrel Mob sur le dos de leurs vestes et sur leur peau. 

Gang composé majoritairement d'Européens à ses débuts, des Maoris ont rejoint le mouvement dès les années 70, donnant un mélange étonnant de tatouages, que l'on peut découvrir sur la série de portraits du photographe Jono Rotman, visibles sur le site du magazine Vice. Les membres de Mongrels Mob ayant fait du trafic de drogues, de la prostitution et des braquages armés leur fonds de commerce, l'exposition de Jono Rotman a d'ailleurs fait polémique, accusée de sublimer l'horreur. À la fois dérangeantes et sublimes, elles viennent illustrer une partie de l'histoire du pays, dont la bibliographie est loin d'être fournie. 

10 – Hell's Angels 

Source : QG des Hell's Angels à New York, David Shankbone/Wikimedia 

Fidèles à leurs frères qu'ils défendent violemment, ces motards en Harley Davidon vivent du trafic d'armes et de stupéfiants, du proxénétisme et des braquages. Le nom du club collé sur le dos de leur veste, tous ne sont pas membres à part entière et ne disposent pas des mêmes statuts dans la hiérarchie, chaque club comprenant un président, un vice-président (VP) et un sergent d'armes. Rentrer définitivement dans le club se gagne à force de confiance et de temps passé sous le statut de prospects. Si cette description pourrait être un début de résumé de la série Sons of Anarchy, elle présente pourtant quelques bases de l'organisation des Hell's Angel, une organisation criminelle bien réelle. 

L'analogie entre réalité et fiction continue avec l'étrange participation de Sonny Barger, dans le rôle de Lenny « The pimp », l'un des fondateurs du club dans la série. Mais Sonny Barger n'est pas seulement un acteur occasionnel, mais, bel et bien, le fondateur du premier club et QG des Hell's Angels en Californie dans les années 50. Bénéficiant d'un certain crédit à leurs débuts au niveau de la population, leur image a rapidement été écornée par le meurtre d'une spectatrice lors d'un concert des Rolling Stones en 1969, alors qu'ils assuraient la sécurité. L'imagerie nazie et les actes d'une extrême violence n'ont pas cessé ensuite d'être associé à ses membres, accentuées par leurs alliances avec des gangs tels que l'Aryan Brotherhood.   

L'influence grandissante du mouvement ayant dépassé les frontières des États-Unis, la prise de contrôle du trafic de drogue au Canada a mené à une guerre des motards, faisant une centaine de morts, dont un garçon de 11 ans, dans un attentat à la bombe. Cet événement a depuis déclenché une gigantesque enquête ayant mené à de nombreuses arrestations entre autres pour meurtres et trafic de drogue. Des arrestations ont également eu lieu à deux reprises en France, où sept clubs sont installés, selon Wikipedia.


Ce top a été rédigé avec amour, gentillesse et bienveillance par
Nawel P.

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